Lost freedom
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Aujourd'hui, la loi ne fais plus les hommes. Mais pour ceux qui sont trop dangereux pour se fondre dans la société, celle ci a une arme fatale : Lost Freedom, la prison la plus terrible d'Amérique.
 
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 Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)

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MessageSujet: Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)   Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle) Icon_minitimeMar 12 Mar - 18:43

De la cour à l'infirmerie la voyage me parait bien long, non de dieu, mais il me font passer par ou pour m'accompagner là-bas!? J'suis sur qu'il font exprès, mais j'espère bien que j'ai envoyé l'autre mec à la morgue lui.
Je sens mes mains longer le mur pour ne pas tomber, la tête penchée en arrière, les yeux presque entièrement fermé, le sang m'empêchant de les ouvrir plus, je n'en peu plus, la douleur me lance jusqu'au fin fond de mon crane, comme si mon nez et ma bouche allaient exploser et laisser sortir la bouillie que doit être mon cerveau après ce coup magistral.
Je sens que le mouchoir tenu dans ma main gauche, l'autre étant beaucoup trop abimée par les coups que j’ai renvoyé à l'homme, commence a devenir une éponge tellement il est imbibé de ce liquide rouge qui coule sur mon visage, dans mes longs cheveux blanc/blonds, et sur mon affreuse combinaison de prisonnière, ainsi que sur mes tennis blanche, déjà maculée du liquide du prisonnier que j'ai tabassé.
Je m'écroule par terre contre le mur, la douleur étant trop vive pour que je continue de marcher, c'est pile à ce moment là que mon mouchoir décida de ne plus pouvoir éponger le sang qui continue de couler à flot, et se transperce, laissant le liquide rouge brunâtre couler sur le sol immaculé du couloir, je finis par articuler assez clairement malgré ma mâchoire souffrante, et d'une voix forte, sur le tons de l'ordre.
-Putain! Un autre mouchoir! Vite!
Le garde qui m'accompagne rit doucement de ma situation, qu'il pense bien mérité, et met un temps fous a sortir un autre mouchoir.
Trouvant le temps d'attente trop long, je finis par me pencher vers ses chaussures et le bas de son pantalons, avant de m'essuyer dessus.
-Grouille imbécile ou je m'en sers encore!
Il finit par me tendre le fameux mouchoir, avec un grognement de dégout. Je me relève et réussis à lui sortir une belle grimace de douleur qui était à l'origine un de mes fameux sourire espiègle.
Je m'appuie enfin sur lui, sans lui demander son accord pour pouvoir continuer d'avancer, j'aime pas ce arde, il est ingrat, et si je n'avais pas aussi mal, je crois que je ferais tout mon possible pour lui rendre ce trajet avec moi pénible, mais malheureusement, je crois que outre, lui mettre du sang partout, je n'arriverais à rien de bien aujourd'hui.
Alors je continue d'avancer, les yeux fermés, faisant confiance à l'homme pour me conduire à destination en chien d'aveugle.
Un râle de douleur m échappe de nouveau, non de dieu, mais quand est-ce-que ce bâtiment va venir! La prison n'est pas aussi grande que ca quand même!
-Voilà, on y est gamine, bouffe pas notre infirmière, je compte sur toi.
Il rit et s'éloigne me laissant à la porte.
Je tâtonne à l'aveuglette avant d'enfin pouvoir entrer dans la salle, laissant beaucoup de sang qui était présent sur mes mains partout sur la porte, je me laisse choir dans un des fauteuil très inconfortable de l'infirmerie gémissant doucement, je ne prend pas la peine de toquer a la porte de la salle, vu le bruit que j’ai fait en me bouffant le mur ne l'ayant pas vu en entrant.
Merde, quel connard ce vieux type quand même! Je déteste les violeurs de femmes, je déteste quand il commencent à avoir une victime en ligne de mire, cette pauvre idiote ne savait même pas se déffendre, elle le laissait la brutaliser assise dans un coin de la cour.
C'est à ce moment là que je me suis levée et que j'ai décidé de lui mettre mon poing dans la figue, c'ets ainsi que j'ai du me Feller les os de la main, puis j'ai mis un autre coup qui à du finir de me briser les doigts, sur le coup je n'ai pas tellement sentis la douleur, alors, j'ai frapper encore une fois son visage, mais il s'ets relevé, et de ses grosses mains m'a foutu un de ses coups de poing magistrales pile dans ma mâchoire.
Mais l'adrénaline à été plus forte, je me suis jetée sur lui pour le mettre à terre et lui est asséné un coup de boule dans le pif, mais le mien a morflé aussi, alors je me suis relevée, et l'ai frappé de toutes mes forces dans le ventre dans le dos, dans la figure avec mes pieds avant de crier: On ne touche pas une femme!
Et je me suis écroulée, sentant enfin une douleur vive sur mon visage et sur ma main.
Enfin de compte je suis assez fière de moi, même si je n'en sors pas totalement indemne, j'attends maintenant avec impatience que l'infirmière se pointe,que je puisse enfin m'allonger et arrêter se flot de sang continue qui coule de mon nez.
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Ashley Loose

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MessageSujet: Re: Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)   Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle) Icon_minitimeMer 13 Mar - 9:14



Hey l’infirmière, toi et moi on se ressemble.

Ashley et Abigaelle 2


J'étais tranquillement installé à mon bureau, dans le petit cabinet de l'infirmière qui m'était réservée. Je regardais les différents dossiers des patients que j'avais traités jusque là, et notamment ceux qui nécessitait que je repasse dans leur cellule dans la journée pour un bilan de leur état. J'étais donc tranquillement installée, les jambes nues croisées sous ma blouse, attentive aux papiers sous mes yeux, quand j'entendis le fracas caractéristique de la porte d'entrée qu'on ouvrait (et qu'on cognait même au passage). Je ramassais mes papiers, un peu en désordre il est vrai, sous le coup de la précipitation, et mu ruais dans la pièce principale de l'infirmerie.

Une jeune femme était postée dans le hall, dégoulinante de sang, un gardien apparemment peu attentionné à ses côtés. Je m'empressais de faire un signe à l'homme, signifiant qu'il pouvait nous attendre devant la porte : je n'avais pas besoin d'un pataud stupide entre les pattes. Il grogna de façon réticente mais obéit malgré tout, il voyait bien qu'il n'était pas ici dans son élément. Je pris ensuite la jeune fille par le bras (elle paraissait trop faible pour se diriger correctement) et la fis s'allonger sur le lit immaculé (qui serait bientôt couvert de sang si vous voulez mon avis) afin de prendre conscience des dégâts. Elle avait avant tout le nez en sang, et je m'empressais d'arrêter l’hémorragie Je la refis s’asseoir en penchant la tête en avant pour que son sang ne passe pas dans sa bouche J'imbibais ensuite un coton d'eau oxygénée avant de lui tendre pour qu'elle se le place dans le nez. Après cela, l’hémorragie se calma rapidement, c'est alors que je remarquais son nez tordu, qui ne devait pas être cassé, mais au moins fêlé. Je pris quelque glaçon que je plaças dans un tissu que je nouais avant de lui placer délicatement sur le nez pour diminuer le gonflement. Je lui expliquais donc :

"Vous avez le né fêlé, je mets de la glace pour qu'il dégonfle mais ce n'est pas ça qui va le réparer. Il faut attendre, le nez se remet tout seul au bout de quelques jours lorsque la fêlure n'est pas très importante. Je passerais dans votre cellule tous les jours pour vous prescrire des analgésiques, ou anti-douleurs, pour vous soulager. Prenez ceux ci en attendant"

Je lui tendis alors un verre d'eau et deux cachets. Après cela, la douleur à son nez s'amenuiserait petit à petit avant de devenir tout à fait supportable. Je lui demandais enfin :

"Est ce que vous avez mal quelque part ailleurs ? Je suppose que vous vous êtes battue"

Je ne disais ça sans aucun reproche, simplement comme une constatation. Je n'avais pas à juger les prisonniers, simplement à les soigner. Et si une si belle femme avait risqué de sacrifier son beau visage, c'est qu'elle devait avoir une raison. Je me rendais compte que j'étais beaucoup plus indulgente avec les femmes. Je devais sans doute mieux les comprendre, elles vivaient dans un monde peuplé d'homme violents (même si elles l'étaient souvent aussi), comme je l'avais moi même vécu.

"Vous avez mal quelque part ailleurs ? Je suppose que vous vous êtes fait ça pendant une bagarre..."
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Dernière édition par Ashley Loose le Mer 27 Mar - 10:19, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)   Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle) Icon_minitimeMer 13 Mar - 15:42

"Vous avez le né fêlé, je mets de la glace pour qu'il dégonfle mais ce n'est pas ça qui va le réparer. Il faut attendre, le nez se remet tout seul au bout de quelques jours lorsque la fêlure n'est pas très importante. Je passerais dans votre cellule tous les jours pour vous prescrire des analgésiques, ou anti-douleurs, pour vous soulager. Prenez ceux ci en attendant"

Je l'écoute sans vraiment comprendre ce qu'elle dit et hoche la tête pour ne pas l'obliger à répéter un fois encore ce qu'elle venait de me dire, je verrais bien au moment venus ce qu'elle me dira de faire, quand ma tête me lancera beaucoup moins.
Mais je reste docile et ne bouge faisant tout ce qu'elle m'ordonne a la lettre, dis donc, je crois que même gamine je n’ai jamais été aussi sage!
Je me sens bien trop mal pour pouvoir protester ou autre chose, alors je me contente de fermer les yeux et de laisser la glace agir tranquillement et faire dégonfler la patate qu'est devenu mon petit nez, c'ets douloureux, le froid de la glace commence doucement à endormir mon cerveau, les anti-douleurs y sont aussi pour quelque chose sans doute... Enfin peut-être, je n'en sais rien moi.
Je rouvre les yeux, maintenant je peu voir clairement ou je suis, même si la fatigue laisse un petit voile devant mes yeux, j'observe cette infirmière; elle est... gentille, c'est étrange, c'est la seule personne gentille que je rencontre ici... Je dois avouer que ca fais du bien, quoi qu'on dise, on a beau être des prisonniers, avoir tuer des gens, enfin dans mon cas les avoir torturés, un peu de gentillesse ne fait pas de mal....


"Est ce que vous avez mal quelque part ailleurs ? Je suppose que vous vous êtes battue"


Le rire que j’ai voulu emmètre se change en petit hoquet de douleur, merde, je peu même pas rire, alors je me contente de grogner doucement, qu'est-ce-qu'elle croit, que je me suis refais le portrait toute seule? Bas bien sur que je me suis battue, et je crois que si elle fait une seule réflexion je me barre de l'infirmerie illico presto et sans un mot.
Mais je ne sens pas de reproche dans sa voix, elle reste comme a sa première phrase.
Alors je hoche doucement la tête, pour prouver quelle a raison et essaie de parler, au début, ca ressemble un peu à du yaourt, mais peu à peu je m'améliore et arrive enfin a sortir trois mots compréhensibles.

-Oui, battue, 'vec un Connard.

Je tend ma main droite endolorie par les coups que je mis a l'homme, elle est même en train de virer au bleu je crois...
Une grimace m'échappe lorsque je la soulève du siège.
Je sais que ca va être douloureux quand elle va la soigner, mais je prend sur moi et referme les yeux, laissant ma main tendue, ca aurais pu être pire, j'aurais pu ne pas pouvoir bouger, il m'aurait cassé les jambes sans grand mal si je ne l'avais pas pousser part terre, si il me retrouve, je crois que je suis carrément cuite.
Je laisse mon esprit divaguer loin de cette prison, tiens, les médicament ca remplace pas mal la drogue je pense... Ca fais le même effet, je plane doucement dans le bien être,même si à n'importe quel moment, je peu redescendre a cause de la douleur affreuse dans les os cassés de ma main...
Mon pied tapote nerveusement contre le siège ou je suis allongée, je ne peu pas l'en empêcher je crois..

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Ashley Loose

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MessageSujet: Re: Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)   Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle) Icon_minitimeMer 13 Mar - 18:05



Hey l’infirmière, toi et moi on se ressemble.

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Après ma question, elle me regarda d'un regard mauvais en tentant de rire, comme si ma question était évidente. Enfin, elle répondit, avec encore un peu de difficulté :

-Oui, battue, 'vec un Connard.

Je fus tout d'abord surprise, je m'attendais à ce qu'elle ce soit battue avec une femme, pas avec un homme. Je vis à son regard qu'elle ne mentait pas, et que cet homme avait du souci à se faire, car elle avait l'air d'avoir une profonde aversion pour lui. Dans tous les cas, elle s'en était plutôt bien sortie si elle s'était battue avec un homme, car ceux d'ici étaient bien évidemment généralement musclés et forts. J'étais plutôt admirative, j'aurais aimé pouvoir me défendre de cette manière lorsque j'étais prostituée, cela m'aurait évitée bien des coups dans la gueule de la part d'homme sadique et violents. Je remarquais alors la main tendue, violette et mal en point que me tendait la jeune femme. Plusieurs doigts semblaient casser, surtout au niveau de la dernière phalange. J'allais devoir faire des manipulations sur ces doigts pour être sûre de mon diagnostic (nous ne disposions pas encore de matériel de radiologie, il allait falloir que j'en fasse une demande à la directrice). Je pris sa main dans la mienne, la voyant serrer les mâchoires en se préparant à la douleur et j'appuyais doucement sur plusieurs zones de sa main. A ses grognements, je faisais un petit signe de tête, montrant que je voyais maintenant l'ampleur de fracture. Deux doigts étaient surtout cassés, les autres semblaient simplement fêlés. J'agis comme pour le nez de la femme, reprenant un tissu rempli de glaçon que j'appliquais sur sa main. Puis je fis un bandage autour de ses doigts, que je recouvrais d'une attelle serrée, afin de donner du temps pour guérir la blessure. Après cela, je la laissais se reposer un peu, et revenais sur la question du sale type avec lequel elle s'était battue :

"Il vous a fait quoi, ce mec ?"

Je m'assieds en face d'elle, sur une petite chaise, croise les jambes et attend sa réponse.
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MessageSujet: Re: Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)   Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle) Icon_minitimeMer 13 Mar - 18:51

"Il vous a fait quoi, ce mec ?"

Je la regarde s'assoir devant moi et la fixe un long moment hésitant à lui répondre franchement, j'avais deux solutions, sois vraiment dire ce qu'avait fait le mec, au risque qu'il ne parte en isolement si il n'est pas mort et que je ne puisse finir de le tuer, ou dire la vérité et m'en sortir sans d'autres dommages collatéraux.
Il y'eu un moment de flottement encore avant que je ne soupire lentement et commence articuler pour qu'elle comprenne

-C'est un p'tain de violeur.

Un grognement de douleur m'échappe lorsque je parle, l'attelle me fait aussi mal, mais je ne dis rien, je ne suis pas une chochotte après tout. J'attends un petit moment que la douleur dans ma tête se soit calmée pour pouvoir reprendre avec hésitation.

-Il, à touché à une autre femme... Il a voulu, la...enfin, je ne vais pas vous faire un dessin, alors je suis intervenue, par-ce-qu'elle ne sait pas se défendre.

Après cette longue phrase dont je suis plutôt fière vu que j'ai réussis a tout bien dire comme il faut, je me tais et referme les yeux, dommage que l'effet de flottement se soit dissipé j'en aurais bien eu besoin pour continuer a ne pas avoir trop mal.
J'attends sa réaction nerveuse, triturant mes longs cheveux blonds couverts de sang, j'espère qu'elle ne va rien dire aux gardes pour que je puisse finir ma vengeance, quitte a revenir lui faire un p'tit coucou pour des fractures sur l'autre main...
C'est étrange cette infirmière elle parait tellement humaine dans ce monde de taulard! Dans mon monde... Je la vois mal pouvoir se défendre face a quelqu'un d'ici...Elle se ferait écrabouiller ne deux seconde, je pense qu'elle devrait avoir un garde qui lui tes assigné pour la protéger, tiens je lui proposerais cette idée quand parler ne me gênera pas autant, il serait fâcheux qu'un taré du genre du mec que j'ai démolis face du mal a cette femme.
Au loin j’entends les autres prisonniers qui chahutent dans la cour, ou dans les couloirs, qui se battent, qui disputent des match de Basket, qui dealent...
Tiens, ca fais longtemps qu j'ai pas tenus mon petit commerce de Farine d'ailleurs il faudrait que je m'y remette un de ses jours, je pourrais me procurer pas mal de choses essentiel, un couteau peut-être? Qui sais ce que sont près a échanger les gens pour une dose de rêve en poudre...
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MessageSujet: Re: Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)   Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle) Icon_minitimeSam 16 Mar - 17:46



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-Il, à touché à une autre femme... Il a voulu, la...enfin, je ne vais pas vous faire un dessin, alors je suis intervenue, par-ce-qu'elle ne sait pas se défendre.

A ce moment là, j'eus une forte envie de meurtre moi aussi. Je vis la jeune femme en face de moi reprendre son souffle et ses esprits, et se reposé un peu. Moi même, je dois reprendre le contrôle de mes nerfs, si je ne veux pas me mettre à hurler de colère. Voyant que le femme souffre encore, je prépare un duexième analgésique à lui administrer. Je lui remplis en verre d'eau , et m'approche d'elle pour lui tendre le cachet. Elle doit voir ma fureur dans mon regard, mais je ne lui parle pas encore de ce qui m'énerve. Je lui dis simplement :

-Tenez, un deuxième cachet. Avec cette dose là, vous ne devriez plus souffrir avant un bon moment.
Je me rassied ensuite sur la chaise devant son lit. Je prend une grande inspiration, et en tentant de garder une voix calme, je réplique :

-Je déteste les hommes comme cela. Pire que ça, je les hais. Si je pouvais, je leur arracherais la tête.
Je serrais mes mains fort l'une contre l'autre, pour éviter qu'elles trembles. Je ne pensais pas que j'étais autorisé à avoir une telle conversation avec une prisonnière, mais tant pis. Les hommes comme cela m'insupportaient. Et je préférais me faire virer que garder ma langue dans ma poche quant à leurs saloperies.
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Dernière édition par Ashley Loose le Mer 27 Mar - 10:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)   Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle) Icon_minitimeSam 16 Mar - 20:16

-Tenez, un deuxième cachet. Avec cette dose là, vous ne devriez plus souffrir avant un bon moment.

Je m'empresse donc de prendre le cachet pour enfin oublier la douleur, mon dieu que j'ai hâte de le prendre!
Me yeux se posent sur les siens en prenant le vere,bizarre, elle à l'air si dérangée par ce qie j'ai dis, mais je ne relève pas et avale le cachet magique, je pose le verre en temblant sr la table près de moi.
Je continue dobserver la jeune infirmière devant moi, c'est étrange qu'ils aient pris une fille de cet âge la, mais le plus étrange.
Elle à l'aire vraiment furieuse! Pour quoi donc?
Mais en entendant sa phrase je comprend enfin pour quoi je vois autant de râge dans ses yeux, et je la comprend totalement.

-Je déteste les hommes comme cela. Pire que ça, je les hais. Si je pouvais, je leur arracherais la tête.

Je la fixe un momen attendant que la douleur se dissipe totalement pour pouvoir predre la parole sans souffrire, alors je me tais encore un moment.
Enfin finallement, je hoche la tête après quelques minutes de silence avant de prendre la parole abbandonnant doucement mon articulation de yaourt.

- Je ne pensais pas que notre infirmière avait des tendances violentes.

Mes grimaces du début se transforment peu à peu en sourire.

-Et ne vous inquiétez pas, cet homm à bien plus pris que moi....

Mais un soupire m'échappe je vais forcément aller en isolement, ca c'est certain...
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MessageSujet: Re: Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)   Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle) Icon_minitimeDim 17 Mar - 10:33

Le cachet avait l'air de lui faire du bien. Je vis son visage s'apaiser et elle put même me répondre facilement :

- Je ne pensais pas que notre infirmière avait des tendances violentes.

J'eus une forte envie de sourire. J'étais normalement douce et tendre... Sensible, même, quand je le voulais. Sauf sur les connards du type violeur, pédophile, pervers et autres. Là, je perdais le contrôle. J'en avais tellement connus !

-Y a des gens qui méritent de mourir. Même si je ne suis pas vraiment autorisé à te dire ça.
Je me mettais maintenant à la tutoyer. Après ce que je lui avais dis, je n'avais plus à faire de manière avec elle.
Elle reprit ensuite, grimaçant, souriant, puis perdant peu à peu son sourire :

-Et ne vous inquiétez pas, cet homme à bien plus pris que moi....Je souris de nouveau, puis dis à mon tour :

-Tant mieux. J'espère juste ne pas le voir débarquer ici. Ce serait dur de garder mon calme.
Voyant sa mine devenir inquiète, je compris où étais le problème. Je voyais souvent les prisonniers qui débarquaient ici après avoir provoquer une bagarre être dégouté, terrifié, ou ennuyé. Ils avaient une bonne raison : la cellule d'isolement. Beaucoup la craignaient, elle était apparemment affreuse. Certains en étaient juste ennuyé, ils savaient qu'ils allaient y passer un mauvais moment. Je ne savais pas dans quelle catégorie se situait la jeune femme, mais je voyais bien qu'elle ne voulais pas y aller. D'habitude, je ne prenais pas la défense des prisonniers. Je me contentais de les soigner. Là, c'était un cas exceptionnel. C'était le connard qui méritait d'aller en isolement. Pas elle. Je lui dis alors :

-T'en fais pas. Je demanderais à ce qu'ils ne te mettent pas en isolement.




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MessageSujet: Re: Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle)   Hey l'infirmière, toi et moi on se ressemble... (Ashley et Abygaelle) Icon_minitime

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