Mon p'tit Ange... J'suis pas un Ange. (With Jake Aiden)

Entrer, faire la queue, prendre son plateau, dire bonjour, sourire, prendre une table, s’assoir, manger, regarder les autres, puis repartir à sa cellule.
C'est ce que font la plus part des gens ici, la plus part des prisonniers. Beurk, mais quelle horreur, c'est pas par ce qu'on est enfermés ici qu'on doit être des moutons, y'en a pas un qui veux piquer une petite crise pour faire un peu de spectacle, de diversion? Nan, jamais, c'est toujours calme ici, on dirait que la bouffe leur plait! Ça me donne la gerbe, je peu gerber sur un surveillant? Vous croyez que ça se fait? Ça pourrait être bien marrant.
Voilà mes pensée pendant que je fais la queue comme tout le monde , que je prends mon plateau pleins. Pleins de quoi? De vide, il veulent pas mettre autre chose que des petits poids et des œufs? En plus, y'a moyen de tuer personne avec des couteau en plastique. mais quelle vie de chien!
Je partis m'assoir à une table déjà pleine, ou la plus part de ses occupants sont des gros prisonnier avec des tatouages affreux. Mais quel manque de gouts, je les regarde manger comme des porcs enthousiasmes, leur conversation tourne autour de quoi? Autour du Basket, du match qu'ils allaient disputer dans 1 heure. Ça va encore finir en bataille, mais non, ils continuaient à organiser des match, pour leur santés mentale qu'ils disaient. Mais quelle santé mentale? Même moi j'en avais plus de la santé mentale.
Ils croyaient quoi ses gens, qu'ils allaient pouvoir nous changer en créant deux équipe qui tapent dans un ballon? Foutaise, ils feraient mieux de nous laisser partir.
Tout en mangeant, je songeais déjà à m'évader, mais l'odeur des petits poids et les conversation osées des membres de ma table m'empêchait de me concentrer, comment partir? Pas d'arme, rien à tailler pour le planter dans un garde, et leurs gros chiens affreux, comment s'en débarrasser? Pleins de questions me trottaient dans la tête.
Mon voisin de droite, un bon vieux prisonnier avec pleins de muscles me regardait bizarrement
-Alors poupée, ça te dis de visiter ma cellule?
Putain, mais pour quoi ces gardes ne sont pas la quand il faut? Toujours se débrouiller toute seule. Je voyais ses grandes paluches s'approcher de mois à vitesse grand V.
Rah, il faut toujours tout faire ici, les gardes sont tous des bons à rien.
-Tu me touche, t'as plus de bras mec
Ma voix avait retentit dans le réfectoire, notre table avait les yeux rivées sur nous. Tiens donc, alors c'était moi qui allait mettre l'ambiance aujourd'hui?
Il rit, il rit tout simplement et continua a avancer son bras sans hésitation.
Il allait voir. Je pris son bras, me leva avec et le retourna, commençant à lui déboiter l'épaule un immense sourire barrait mon visage . Et il criait comme un porc.
-Alors murmurais-je, on fais moins le malin n'est-ce pas?

Je sirotais mon café, comme tous les midis et tous les soirs, devant ce mur pour surveillé la salle, comme une armure de collection je restais la sans bouger, le main tenant fermement la laisse de mon toutou, assis a mes pieds mais qui ne tarda pas a se coucher tellement ça manquait de baston. Il soupira et je fis de même.
Mes yeux parcourait la salle, c'était le brouhaha mais personne ne se tapait dessus, il y a des moments où c'est reposant et puis d'autre ou ça en devient presque chiant. Que dis je ? Mon boulot n'est pas chiant, il est pleins d'imprévu et de découverte. Bon, c'est vrai que pour moi c'est le plus beau travail du monde. Mais qu'est qu'ils en pensent Eux de moi ? Pensent ils tous que je ne sers strictement a rien ? Juste a tenir a rien en laisse et a avoir un flingue, un taser et une matraque ? Et puis ce foutu uniforme, ils se sont trompé au niveau de ma taille, je fais pas du M mais du L ! Ah ce que j'avais gueulé. Pourtant je l'ai pas eu le nouveau, je l'attends toujours d'ailleurs, merde.
Un autre surveillant m'aborde, lui, n'a pas de chien, c'est comme qui dirait : Le surveillant en chef. Il a seulement une plus grosse arme. On parle quelques temps, on rit et puis je finis mon café. Je replace enfin mes yeux vers la salle.
Je vois une femme debout tordant le bras d'un homme, gueulant. Je tends ma laisse a mon coéquipier : je n'aurai pas besoin de Hall. Puis trottine vers eux pour la faire lâcher et l’écarter.
Je l'emmène a l'écart, fronçant les sourcils, la tenant, elle aussi, fermement par les bras.
- T'es malade ou quoi !? Si tu veux une remise de peine c'est pas comme ça que tu vas l'avoir jeune fille !
Je dis remise de peine mais ceux qui sont là sont de grands tueurs ou des trucs du genre, des hommes a sang froid qui tuent tout ce qui bouge. C'est pas possible, j'arriverais jamais a les comprendre. Je soupire, desserrant un peu mes mains : C'est une femme quand même. Je la regarde dans les yeux, impassible.
Je regarde l'autre mec, il était tenu par mon supérieur, apparemment rien de grave. C'est un homme il s'en remettra vite. Mais j'aimerais juste savoir pourquoi elle a fait ça. Je reporte mon attention vers elle, un petit sourire à la bouche.
- Qu'est ce qu'il t'as fait ?
Je retiens un petit rire et puis me pince les lèvres. Je peux pas rester impassible, même dans des situations comme celle-ci. J'entends quelques pleurs d'autre chiens autour, des chiens debout au pied de leurs maitres qui ne peuvent pas participer a l'action qui se joue. Mais les chiens sont trop dangereux pour ce drame futile. Je continue cependant de sourire.

-T'es malade ou quoi !? Si tu veux une remise de peine c'est pas comme ça que tu vas l'avoir jeune fille !
Un cri de rage m'échappa lorsque cet homme, que dis-je ce chien de surveillant m'attrappa le bras et me tira à l'écart pour pouvoir me parler, et surtout, me tenir à l'écart de ce fils de p***.
-Lache moi! C'est bon ca va lache moi! Tu m'a même pas laisser lui arracher tout les tendons! Il à que dalle la! Ca lui servira même pas de leçon!
Je serrais les poings faisant craquer mes doigts, j'avais envie de le bouffer ce surveillant, je l'avais jamais remarquer avant d'ailleurs. Mais dites moi aussi, qui fait attention aux surveillants.
Mais je me retîns bien de lui dire et fis un petit sourire narquois, et pleins d'ironie.
-Ma remise de peine? Ho c'est gentil de t'en préocuper, mais si tu savais ce que j'avais fais, tu n'y penserais même pas!
Je lui fis un clin d'oeil et ne détourna pas le regard insolente, mais bon, ce n'ets pas ca qui devait le préocuper. Je cherchais un moyen de finir mon travail de fini de butter ce mec qui avait oser essayer de me toucher.
D'ailleur, mon cervaux ce reconcentra sur la question du surveillant devant moi.
-Qu'est ce qu'il t'as fait ?
Qu'est ce qu'il m'a fait, haha, le pire pêcher du monde. On ne touche Abygaelle Stradford, tout le monde le sait, d'ailleur, ce surveillant qui me tient ne me plait pas trop, je pourais me débattre, mais je n'ai pas envie d'avoir à faire au truc qui lui sert de chien, je tiens à mes mains.
-Ce qu'il m'a fait ne te regarde absolument pas. T'as juste besoin de savoir que si tu me lache je le finis avec les dents ce mec.
Je parle au surveillant comme à de la vermine, c'est ce qu'ils sont, mais qui à envie d'être surveillant de prison hein?
Mon esprit se détourne vite de lui, je regarde l'effet que j'ai fais aux autres prisoniers, ils crient et huent.
Je souris fière de moi, et continue de chercher un moyen de parvenir à mes fins et de finis de faire mal à ce mec.
-Laisse moi finir de lui faire mal, après promis je serais sage...
J'adresse un jolis sourire au surveillant.

-Lache moi! C'est bon ca va lache moi! Tu m'a même pas
laisser lui arracher tout les tendons! Il à que dalle la! Ca lui
servira même pas de leçon!
Je ris doucement, quelle " dure a cuire " pensais je, idiot. Je restais planté là sans un mot. Pourtant je le regardais, elle était pleine de rage et comptait bien tué ce mec coute que coute non ? Il faudrait peut être la mettre en cellule de crise ou a l'infirmerie. Mais le mec il va y aller a l'infirmerie pour son petit bobo.
-Ma remise de peine? Ho c'est gentil de t'en préocuper, mais si tu savais ce que j'avais fais, tu n'y penserais même pas!
Je souris continuais de sourire. La regardant aussi dans les yeux avec insistance. Je pouvais surement voir son dossier pour savoir ce qu'elle avait fait : Je peux tout savoir. Non pas tout, mais presque. Je saurais juste si elle a commis a un crime et si elle a récidiver, j'aurai surement pas les grandes parties de son dossier. Je restais immobile pensant a mon bon toutou, j'étais un peu ailleurs.
-Ce qu'il m'a fait ne te regarde absolument pas. T'as
juste besoin de savoir que si tu me lache je le finis avec les dents ce
mec.
J'approche mon visage du sien. Souriant. Puis je pris une voie grave, un peu rauque, d'homme viril, mouhaha.
- De toute façon je le saurai, ce mec là va tout me raconter.
Je regarde l'homme puis retourne mon regarde vers elle. Franchement, vite, que ça cesse. J'en ai déjà marre de la tenir cette pipelette.
-Laisse moi finir de lui faire mal, après promis je serais sage...
Je fronce les sourcils et soupire. Je la retourne dos a moi pour enfin la plaquée contre le mur. Je lui tint les poignées un peu fort, comme si je tenais un homme.
- Ferme la. Tu m'énerves.
J'essayais de caché mon sourire, toujours au mauvais moment qu'il venait ce fichu sourire. Mais si on m'a pris dans cette prison c'est aussi pour ça non ?

- De toute façon je le saurai, ce mec là va tout me raconter.
Un grognement de rage profonde m'échappa lorsqu'il me plaqua contre le mur.
Je lançais très méprisante entre mes dents.
-Salaud de surveillant!
Je me débatis un peu, un tout petit peu au début avant de tourner la tête vers l'Homme et le regardais durement.
-Toi, tu lui dis un truc, je te défonce comme jamais. Je t'attendrais a table. Tu peu me croire.
Je me débatis encore plus pour qu'il lâche mes poignets. Il me faisait mal, et plus je me débatais, plus j'avais mal, mais peu m'importais, pour ma dignitée je me devais de lui faire mal à lui aussi.
Je tournais la tête et lui cracha à la figure.
-Tu-me-lache! Grognais-je avec dégout.
Les gens sifflaient pour m'encourager, et je souriais, insolente, comme toujours, et pour toujours je pense, je ne vois pas pour quoi ca changerais.
Tout ce que je voulais c'était finir de tuer ce mec, et pourquoi pas, faire une bonne frayeure à ce surveillant.
Il est mignon, mais un tout petit peu con d'après ce que je vois, dommage. Très dommage.
Je levais la jambe et avec mes grosses chaussures de prisonier lui marcha sur le pied fermeaimant en ricanant méchament.
Mon rire avait retentit dans la salle je devais ressembler à une psycho, ce qu eje suis d'ailleurs, avec mes cheveux blonds tout débrailliés à cause de la bagare, et mes yeux fatigués d ene pas dormir la nuit en entendant les cris de tout ses prisoniers.
Ma tenue ne me méttait pas en valeur non plus, j'avais une tenue d'home à mon plus grand déplaisir, j'aimais bien mes jeans moulants moi. Je ne pouvais plus me maquiller a par quand je recevais des cadeaux spéciaux de mon père, mais sinon je devais retrouver ma peau blanche et naturelle.

- Tu vas surement aller en cellule de crise. J'pense
Un grognement m'échappa, merde, ce n'étais jamais appréciable d'être dans cette cellule.
-Peu m'importe chéris, dès que je sors, je le retrouve, comme ca, ca ne lui viendra plus à l'idée de vouloir toucher une fille,puisque lui, ne porte pas de coque comme toi.
Un sourire parcourait maintenant mon visage crispé.
Je me décidais d'arrêter de parler, j'en avais trop dis, je me mis donc à juste l'observer, comme nous étions sortis, toute l'euphorie due aux autres prisoniers était retombée, je ne tenais tête à ce surveillant que pour faire bonne impression, ou mauvaise de sa vision à lui, mais peu m'importais à présent, puis-que cet homme devant moi s'en fichait éperdument.
J'avais du mal à bouger vu comme il me tenait fort.
-C'est bon lâche moi, il n'est plus là, tu ne craindra rien toi.
Je me laissais tomber les fesses par terre et bailla sans négligence.
-C'est toi qui surveille la cellule de crise? Comme ca on pourra se tapper la discu.
J'avais envie d'un bon shoot, mais me retins de lui dire,j'avais envie de tuer l'autre homme, de le torturer avec un couteau en plastique devait être marrant, mais je pense que les surveillabts ne me laisseront pas faire maintenant, je ne pourais plus l'approcher du tout.
Mais la vengeance est un plat qui se mange froid, j'attendrais, pattiement. Je redoutais surtout les chiens, ces trucs avec de grandes dents pointues, Yeurk.
Je tirais sur ma combinaison beaucoup trop grande, ils pouraient nous donner des choses bien plus belles tout de même non.

-Peu m'importe chéris, dès que je sors, je le
retrouve, comme ca, ca ne lui viendra plus à l'idée de vouloir toucher
une fille,puisque lui, ne porte pas de coque comme toi.
Je m'en doutais, elle est rancunière et pas qu'un peu elle n'arrête pas de parler de ça, c'est frustrant. Mais je me demande si je suis rancunier ... Non je ne pense pas, ça ne me vient pas a l'esprit de détester des gens quoique ... Peut être des anciens collègues, ou des prisonniers qui auraient voulu me tuer. J'arrête pas de parler de moi ! Je suis vraiment narcissique, non je rigole, enfin, c'est vrai que je me trouve beau mais je le dis a personne faut pas abusé non plus ! Pour qu'après on me traite de narcissique et puis quoi encore !
-C'est bon lâche moi, il n'est plus là, tu ne craindra rien toi.
Elle me fait presque rire au éclats, peut être que moi je ne crains rien mais ma carrière en prendrait un coup si jamais elle s'en allait, je ne peux pas la lâcher même si je le voulais, et je ne veux pas, je ne vais pas abandonner mon travail, ma tâche de surveillant, c'est pas tous les jours facile mais je respecte ce que j'ai promis. Donc je ne la lâcherais pas tant qu'elle ne sera pas dans une cellule, derrière des barreaux, c'est cruel mais c'est comme ça, je ne peux pas renoncer. En plus j'espère bien une augmentation. Un jour.
Puis elle s'assoit par terre, comme une petite fille fatiguée d'un long voyage a pied et qui supplie son père de s'arrêter pour la nuit, se reposer juste un instant et repartir ensuite.
-C'est toi qui surveille la cellule de crise? Comme ca on pourra se tapper la discu.
Je baissais la tête vers elle en souriant, pour parler de quoi ? De ce qui venait de se passer ? Très intéressant. Je haussais les épaules puis releva la tête fixant l'horizon, enfin ce que j'avais comme horizon : des murs de ciments et de pierres. Et des tonnes de barreaux a n'en plus finir. Je soupira, pensant toujours a mon chien, je n'avais plus que lui a penser, de toute façon.
- En faite, je la surveille si j'ai envie.
Je la regarde toucher son uniforme, enfin l'espèce d'habit qu'elle porte tous les jours, un peu trop grand pour elle. C'est un modèle homme; ça existe pas pour les femmes c'est ça ? Ou peut être que les couturiers faisaient grève. Bref.
- Ça te va pas du tout.
Je souris, presque moqueur.

- En faite, je la surveille si j'ai envie
Je levais les yeux vers lui avec étonnement, si il en avait envie? Et bien, je pense que personne n'avais envie de surveiller cette foutue cellule d'isolement, c'était la mort la bas, rien ne bougeait, c'était lugubre comme pas permis.
-Si vous en avez envie?Et... Vous en avez envie ou non?
Je lui souris innocement, si ca pouvais faire passer le temps dans cette vieille cellule, alors pour quoi pas, ca ne me dérangeais pas qu'il vienne surveillern au loins, je ne me sentirais pas obligée de cracher à la figure du prochain surveillant du coup.
J'aime bien cracher sur le sgens, ca les rabaisse, j'aurais bien cracher sur le prisonier de tout à l'heure, mais je n'ai pas eu le temps. Pffffff, c'est pas juste, maintenant, j'avais comme un regret, dans le truc qui devrait me servir de coeur. Le regret du travail non finit. Je n'aime pas laisser le travail en cour non finit. C'est tout salopé, pas finit, pas propre.
- Ça te va pas du tout.
Un grognement de dégout m'échappa, je tirais encore une fois sur l'habit de prisonier.
-Je sais, merci de me le rappeller. C'ets informe, dégoutant, et obscène de faire porter ca à une fille. Vous voulez pas engager des couturiers pour y remédier nan?
Je tirais sur mon poignet devenu rouge à force que sa main frote dessus et lui tendis l'autre poignet pour qu'il échange vu qu'il ne voulait pas me lâcher.
-S'teu plais, tu me fais mal, prends l'autre.
Il n'y avait pas de mauvaises intention dérrière ce geste, pour une fois, j'étais fatiguée de ne pas dormir la nuit, et j'avais envie de me poser sur une chaise et de m'endormir et de ne plus bouger, la cellule d'isolement allait en faite être un petit paradis dans cet enfers.
Mais je me demandais bien comment, un homme comme ce surveillant avait attérit ici, il était plutôt.. Doux, je dois l'avouer, un autre n'aurait pas hésiter une seule seconde à me tapper la tête contre une table, et là, j'aurais pu riposter comme il se doit, mais finallement, il ne m'avait rien fait de particulier.....
Je me relevais doucement, m'aidant de sa main et du mur.
-Bon, tu m'y emmène dans cette cellule, le temps qu'il finissent de soigner l'autre con?

-Si vous en avez envie?Et... Vous en avez envie ou non?
Je réfléchis un peu, en faite je m'en fichais mais au moins je pourrais m'amuser un peu, ou au moins discuter. Même si c'est étrange de discuter avec une prisonnière c'est pas grave, je peux pas discuter avec mon chien et mes amis ... Ils ne sont pas là. Heureusement, les pauvres. Je ne pourrais pas voir quelqu'un que j'aime derrière les barreaux, impossible.
- Peu importe.
Je réfléchissais encore un peu, j'avais pas tellement envie de lui faire plaisir mais si ça me repose alors c'est bon. Alors c'est bon, non ... Je sais pas. Je soupira, ça m'énerve. Aller, c'est bon, je vais la surveiller. Mais elle m'énerve. Je n'hésiterais pas a la laisser tombé. J'ai dit que je la lâcherais pas. Pas que je la laisserais pas tombé.
Je ris légèrement a son grognement.
-Je sais, merci de me le rappeller. C’est informe, dégoutant, et obscène
de faire porter ca à une fille. Vous voulez pas engager des couturiers
pour y remédier nan?
Je déglutis la regardant, regardant le bout de tissu qui lui cachait le corps, je souris, encore une fois moqueur.
- J'en parlerais au patron. ... Peut être.
Je sens une pression venir de son poignet que je vois un peu rouge, je sers les dents. Je ne dois pas oublié qu'elle n'est pas un homme, c'est vrai, ces poignées sont plus petits et plus fragile mais par contre pour tué ce sont les mêmes.
-S'teu plais, tu me fais mal, prends l'autre.
Je soupire et prend en main son autre poignet beaucoup moins fort cette fois.
- Ouais.
Je la regarda se relevé, presque dans les vappes, mais elle tient debout encore. Elle semble malade, mais elle ne l'est pas. Enfin j'en sais rien je ne suis pas médecin, juste surveillant, ou "pion" comme certains disent. Oui, je sais que yen a qui m'appelle comme ça. Mais je les ignores, je les ignores toujours.
-Bon, tu m'y emmène dans cette cellule, le temps qu'il finissent de soigner l'autre con?
Je ris et la tire par son autre poignet.
- AhAh. Ouais.

- J'en parlerais au patron. ... Peut être.
Je le regardais un instant et ris doucement.
-Génial, merci beaucoup, alors, mais je ne rêve pas trop, même si Karl Lagerfeld m'aime bien, je ne crois pas qu'il voudra faire ce genre de choses pour la prison. Mais enfin bref, c'est toi qui viens me surveiller ou pas alors!?
Je le suivis sans faire de vagues, pas deux foois dans la même heure, je suis folle, mais pas à ce point là, je ne veux pas tuer quelqu'un d'aussi... Gentil? Influencable? Oui, voilà, il était influencable, comme personne d'autre. Ca me ferais quelqu'un avec qui parler quand je m'ennuierais maintenant.... Mais je ne m'ennuie jamais quand j'ai des gens qu'on ne va pas regretter à tuer.
J'appréciais lorsque qu'il lâcha un peu mon poignet, il était bien trop gentil, je n'allais donc pas essayer de m'enfuire pendant qu'il me surveillerais, pas aujourd'hui, je n'en avais pas envie.
Je m'appuyais légèrement contre lui pour marcher, cette prison allait finir par me tuer, 1 semaine san dormir, je n'étais pas Jojo à regarder maintenant, il fallait que je me trouve du maquillage et que je dorme vite, que je change de vêtements aussi, mais pour quoi donc? Pour plaire à qui, je n'avais personne que j'aimais ici, et si c'était pour me faire draguer par les cocos de la prison, non merci, je préférais dépérir dans ma petite cellule sans personne à qui parler.
-Il s'appelle comme ton affreux?
Puis je compris qu'il n'allait sans doute pas comprendre de qui je voulais parler.
-Ton chien.
J'essayais de m'intérésser à la vie de mon bourreau. Qui sais, au pire, si ca ne m'intéréssais pas, il m'aiderait peut-être à m'endormir enfin?
Ca serais génial, sans doute... Je l'éspérais tout du moins.
-Si tu veux pas parler c'ets pas grâve, chantes moi une chanson.
Parfois, je sortais ce genre de choses, des absurditées, bien sûr que j'étais une prisonière sans fois et sans merci, mais il m'arrivait d'être juste une fille, qui à grandit un peu trop vite.

-Génial, merci beaucoup, alors, mais je ne rêve pas trop, même si Karl Lagerfeld m'aime bien, je ne crois pas qu'il voudra faire ce genre de choses pour la prison. Mais enfin bref, c'est toi qui viens me surveiller ou pas alors!?
Je tourna la tête vers elle, souriant, marchant vers la cellule de crise, un peu rapidement, mais pas a mon allure maximum. J'vais pas courir pour la mettre en prison, non plus. A part si elle est ravie d'être en prison, c'est vrai que voir quelqu'un derrière les barreaux alors que toi tu es libre c'est un peu , un peu triste. Non j'rigole. Juste que c'est bête pour eux, ils n'avaient qu'à pas faire ça, c'est pas de ma faute non plus.
Mais j'ai l'impression d'être trop gentil avec les filles, c'est normal, elle sont plus fragile ont croirait qu'on peut les cassés en prononçant des mots rudes. Pourtant elles sont fortes les femmes ici, pas trop fragile, moi qui pensait le contraire, j'avais tord, vraiment tord. Je vais essayer d'être un peu plus méchant. Je serais méchant comme avec les hommes, eh oui, un pied d'égalité. Mais ce sont des femmes ... Elles sont fragiles comme des petits piou-piou.
Je la rentra dans la prison après plusieurs longues minutes de marche, et referma la cellule. Je m'assis dans une chaise en plastique étrange dos a la cellule. Le chien était assis a coté de moi, tranquille, il ne s'en faisait pas, mais se méfiait beaucoup de la jeune femme.
-Il s'appelle comme ton affreux?
Je me retourna vers elle ne comprenant pas trop de quoi, qui elle parlait. Puis elle continua sa phrase, comprenant que je n'avais pas compris.
-Ton chien.
Mon chien n'est pas affreux espèce d'idiote. Je fis mine de bouder, quel con je faisais.
- Il s'appelle Hall.
Je me retourna dos a elle, regardant mon chien, mon chien qui soupira, et moi avec.
-Si tu veux pas parler c’est pas grave, chantes moi une chanson.
Je ris, elle croit vraiment que j'ai une tête a chanté une chanson franchement ... En plus je connais presque pas de chanson pour endormir les enfants.
- Naaaan.

- Il s'appelle Hall.
Je le vis commencer à bouder et éclata de rire, pas un rire diabolique comme d'habitude, pas un rire ironique, non, juste un rire, un rire tout simple.
-Ne boude pas, pas pour ca quand même, je t'ai fais pire que traiter ton chien d'affreux!
Je montrais les dents au chien en grognant pour qu'il se tienne a carreau n'aimant pas trop tout ca, les gros molosse avec pleins de dents.
Je devais avoir l'air fine avec mes fins cheveux blonds me tombant sur le visage comme des cordes, avec mes yeux explosés par le manque de sommeil, grognant contre un chien dérrière les barreaux.
-Dis à ton chien de pas m'approcher s'il te plais!
Il faisait chaud dans cette cellule, mince, ils avaient enfin mits le chauffage ou quoi!?
J'enlevais le haut de ma combinaison Orange vif pour la nouer autour de ma taille, restant en débardeur noir et moulant pour une fois.
Je m'allongeais en soupirant doucement sur le banc en bois dur des détenus et regarda le surveillant assit qui me tournais le dos, bizarrement ca me faisais me sentir seule.
- Naaaan.
Je fermais les yeux fatiguée.
-S'il te plais... SI tu ne veux pas chanter parles au moin alors.... Comment tu t'appelles?
Je ne voulais pas être aimable, après tout, c'était un méchant et sal pion qui ne faisait que nous surveiller et nous battre quand on en avait besoin, mais il était différent, il me traitait prèsque gentiment, mais ca c'était par ce que je n'étais qu'une pauvre poupée blonde et sans force, enfin sans force, j'avais réussis à déboiter l'épaule d'un homme qui faisait 6 fois mon poids, mais quand je voulais je pouvais être une fille normale, mais ca ne m'arrivais jamais .
Je n'aimais pas être une pauvre femme sans défensse et dépendre d'un homme pour me protéger, j'aimais faire tout comme je le voulais, mais je savais bien jouer la comédie.
Et je décidais de le faire, je ne turais pas l'homme du repas, pas tout suite en tous cas. J'allais être une poupée, un petit Ange on verra ce qu'il se passerais, ca sera mon plant, mon plant du moment faute d'avoir un bon plant A, j'utilisais ce plant B.